
Georges-Louis Bouchez a été entarté samedi, à la Fnac, à Liège, durant une séance de dédicaces de son nouveau livre « à bâtons rompus », par un élu de Stoumont, Etienne Lorent.
Dessins de presse, dessins d'humeur et d'humour, satires politiques, caricatures d'Oli.
Georges-Louis Bouchez a été entarté samedi, à la Fnac, à Liège, durant une séance de dédicaces de son nouveau livre « à bâtons rompus », par un élu de Stoumont, Etienne Lorent.
Alors qu’on veut mettre la Wallonie sur la carte du monde du jeu vidéo, c’est Mario Kart autour du parlement wallon !!
Après le départ de Sophie Wilmès du gouvernement pour s’occuper de son mari malade, le MR a présenté celle qui va reprendre les fonctions jusqu’à la fin de la législature. Et une fois encore, Georges-Louis Bouchez, le président du MR, en a surpris plus d’un, puisqu’il a confié le poste à Hadja Lahbib, ancienne journaliste de la RTBF.
Vous aussi, vous avez acheté votre muguet, ce premier mai ?
Le président du MR, Georges-Louis Bouchez, a participé à un débat sur la VRT avec Tom Van Grieken, président du Vlaams Belang, parti nationaliste et d’extrême-droite flamand. Les partis au Sud du pays s’offusquent, car de ce fait, il a brisé le principe du cordon sanitaire.
La BRAFCO, la fédération des distributeurs de carburant, met la pression sur le politique ! En effet, elle a posé un ultimatum de 24h aux décideurs pour trouver une solution à la flambée des prix de l’énergie et menace de ne plus assurer les livraisons ! La Belgique bientôt en panne sèche ?
D’après l’AFCN, la prolongation de 2 réacteurs nucléaires est « possible sur le plan de la sûreté ». Du coup, il faut faire quoi ?
L’accord sur la sortie du nucléaire en 2025 a été signé par tous les partis de la Vivaldi. Mais cet accord comprend un volet investissement de 100 millions € pour… le nucléaire du futur ! La pilule est dure à avaler, chez Ecolo !
Le ministre-président de la Wallonie, Elio Di Rupo, a été victime d’une vilaine chute ! Il s’est fracturé la rotule. Plus de peur que de mal !
Alors que les écolos réclament à cor et à cri l’abandon du nucléaire, signé dans l’accord de gouvernement de 2007, les libéraux, Georges-Louis Bouchez en tête, continuent de clamer à l’hérésie ! Selon eux, l’approvisionnement et la conjoncture actuelle plaident en faveur d’un maintien des centrales nucléaires, et la construction de centrales au gaz, très émettrices de CO2, irait complètement à l’encontre des enjeux climatiques. Mais en avril, déjà, Engie, le propriétaire des centrales, a annoncé qu’il n’était désormais plus possible de faire machine arrière et que la fin du nucléaire était actée.