La N-VA se lance dans la campagne de 2014 !

La N-VA est un peu dans la tourmente ces derniers temps : beaucoup de départs (forcés ou non) dans les rangs du parti, popularité en baisse dans les sondages… 2014 ne s’annonce pas vraiment sous les meilleures auspices pour le parti nationaliste. Aussi, le président, Bart De Wever, s’est fendu d’une sortie médiatique hier, histoire d’inverser la tendance ! Au programme : du socio-économique de droite (baisser l’impôt à 40% pour les salaires moyens, entre autre), un rapprochement et des ouvertures vers le VLD, le CD&V et le MR et un mitraillage en règle envers le PS (et un peu Ecolo). Cela fonctionnera-t-il ? On verra !

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La N-VA occupe le terrain médiatique !

Le parti de Bart De Wever, la N-VA, profite du calme apparent de l’été pour occuper tous les fronts médiatiques et faire parler d’elle. Pas un jour sans une sortie, un avis, un commentaire bien tapé de la part d’un membre du parti nationaliste flamand. Hier, c’était Théo Francken qui s’est chargé de la sortie du jour, en proposant de durcir les peines envers les citoyens qui empêcheraient les expulsions. Toujours dans le populisme, les sbires de Bart de Wever surfent quand même sur des vagues aux relents nauséabonds !

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Vers un « nouveau cordon sanitaire » autour de la N-VA ?

Le président de la N-VA, Bart De Wever n’a de cesse de faire parler de lui sur tous les sujets polémiques. Après sa sortie sur le fait d’afficher son soutien à la cause homosexuelle dans les administration anversoise, l’ensemble de la classe politique s’accorde a dire que ce populisme devrait être évité et envisage de mettre en place un cordon sanitaire. Seulement, voilà, chaque sortie de De Wever est réfléchie et sert ses intérêts ! Ne pas réagir à ses propos polémiques, c’est les avaliser, ce que les autres ne peuvent pas faire; mais les contredire, c’est lui offrir la tribune et les projecteurs qu’il recherche. La tâche ne va pas être facile, avec de vilain petit canard (ou Caliméro, c’est selon) !

Bart De Wever N-VA

Paul Magnette prend la tête du PS !

La rumeur circulait depuis quelques jours, mais c’est désormais officiel; Paul Magnette, ancien ministre des transports et des grandes entreprises, quitte son poste ministériel pour devenir président du Parti Socialiste (PS) et bourgmestre de la ville de Charleroi. Côté PS, on semble vouloir resserrer les rangs en vue des élections de 2014, mais aussi de la montée du PTB et du MR. A Bruxelles, Laurette Onkelinx vient compléter le tableau puisqu’elle préside désormais la fédération socialiste bruxelloise. Et au fait, c’était qui déjà, Thierry Giet ? 😉

Paul Magnette PS

Crise à l’UMP : Sarkozy médiateur ?

Ce qui n’était à la base qu’une bataille de coqs au sein de l’UMP, la formation politique de l’ancien président de France, Nicolas Sarkozy, s’est très vite transformée en guerre intestine, dramatique pour le parti de droite français. Jean-François Copé et François Fillon se livre un combat sans merci pour gagner la tête du parti, allant jusqu’à créer un véritable rupture et terrible crise au sein du mouvement. Tellement violente qu’elle en devient ridicule ! Nicolas Sarkozy est même sorti de sa retraite pour tenter de jouer les médiateurs. Mais s’agit-il d’un coup de main ponctuel, ou d’un grand retour intéressé ? A suivre…

Guy Spitaels est mort

Guy Spitaels, figure emblématique du Parti Socialiste, est décédé hier, des suites d’un long cancer du cerveau. Cet homme politique, surnommé un temps « Dieu », a été l’un des plus puissants de Belgique et de Wallonie, avant de déchoir, suite à l’affaire Agusta-Dassault. Président du PS, ministre-président auto-nommé de la Région Wallonne, il restera comme un des monuments de la politique belge de sa génération. L’été 2012 aura été mortel en figures emblématiques pour le PS; après Papa, c’est Dieu qui nous quitte.

Un premier Mai multicolore !

Ce 1er mai 2012 aura été marqué par une multitudes de rassemblements, de tout bords et de toutes convictions politiques ! Toutes les familles ont tenté de s’approprier la paternité et l’évolution de cette fête du travail, qu’ils soient de gauche, du centre ou de la droite. Alors, un premier mai de toutes les couleurs ?