
Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont affrontés lors du célèbre débat du second tour, hier soir. Les candidats n’ont rien laissé passer et se sont farouchement opposés. À qui cela profitera-t-il ?
Dessins de presse, dessins d'humeur et d'humour, satires politiques, caricatures d'Oli.
Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont affrontés lors du célèbre débat du second tour, hier soir. Les candidats n’ont rien laissé passer et se sont farouchement opposés. À qui cela profitera-t-il ?
Ce soir a lieu le célèbre débat du second tour de l’élection présidentielle en France. Il opposera le président sortant Emmanuel Macron à la cheffe de file de l’extrême droite française, Marine Le Pen, et sera animé par Léa Salamé.
L’alcolock, malgré son application, fait toujours débat à cause de certains ratés.
Benjamin Maréchal a annoncé ce matin, dans son émission quotidienne « C’est vous qui le dites » sur les ondes de Vivacité, qu’il quittait son poste, pour travailler sur d’autres projets. Depuis plusieurs mois, l’animateur radio est la cible de nombreuses critiques, même au sein de la RTBF, suite à plusieurs polémiques nées des sujets de son émission.
Le premier grand débat des candidats à l’élection présidentielle de 2017 en France s’est déroulé hier soir sur TF1. La chaîne de télévision a choisi de n’en prendre que 5 sur les 11; elle a préféré mettre en avant les 5 personnes avec les sondages les plus favorables, à savoir Emmanuel Macron, Jean Luc Mélanchon, Marine Le Pen, François Fillon et Benoît Hamon.
Hier, le MR Didier Reynders a fait un dérapage à la fin d’un débat qui l’opposait au premier ministre, Elio Di Rupo, sur la RTBF. En effet, le réformateur s’est égaré en affirmant que les enlèvements d’enfants et quelques autres malheurs ont eu lieu en l’absence des libéraux au gouvernement, éclipsant ainsi tout le peu de profondeur qu’avait pris le débat. Si tôt, la twittosphère s’est emparée du hashtag #SansLesLiberaux, et le ministre des affaires étrangères s’est copieusement fait railler, malgré ses excuses en fin de journée. Mais finalement, est-on face à une campagne de fond, ou de forme ?