
À Vilnius, lors de son sommet, l’OTAN a donné des garanties à l’Ukraine quant à son entrée dans l’alliance après la guerre ainsi que la confirmation de son soutien face aux russes.
Dessins de presse, dessins d'humeur et d'humour, satires politiques, caricatures d'Oli.
À Vilnius, lors de son sommet, l’OTAN a donné des garanties à l’Ukraine quant à son entrée dans l’alliance après la guerre ainsi que la confirmation de son soutien face aux russes.
Le président russe Vladimir Poutine se trouve dans une position très inconfortable : son bras armé, le Groupe Wagner, mené par Evgueni Prigojine, s’est retourné contre lui et a rapidement marché sur Moscou. Le leader dissident s’est arrêté peu avant la capitale russe pour négocier et un compromis semble avoir été trouvé. Le traitre pourra s’en aller en Bielorussie et aucune poursuite ne sera faite à son encontre. Poutine ne sera pas renversé… mais pour combien de temps ?
Débarquement d’infos contradictoires en Ukraine après la destruction d’un des plus grands barrages hydro-électriques à Kakhovka. Zelensky accuse Moscou, et les russes accusent l’Ukraine…
Le président chinois Xi Jingping était en visite à Moscou. Une façon pour la Chine de réaffirmer son soutien à la Russie de Vladimir Poutine.
Le président américain, Joe Biden, était en visite surprise en Ukraine.
C’est la Saint Valentin, on souhaite bonne fête à tous les amoureux !
C’est la chandeleur, fête chrétienne où on fait des crêpes. C’est de là que doit venir l’expression « se crêper le chignon », non ? En Ukraine et en Russie, cela semble être le cas, entre Zelensky et Poutine !
Des mines antipersonnel sont utilisées en Ukraine, par les deux camps, semble-t-il.
Avec toutes les livraisons d’armes et maintenant, avec l’envoi de chars lourds comme les Leopards 2 allemands ou les Abrams américain, ne risque-t-on pas une escalade de la guerre en Ukraine ? Vladimir Poutine va-t-il se sentir plus menacé ?
La livraison ou non de chars Leopard 2 pour l’Ukraine pose toujours question. La Pologne a annoncé sa ferme intention d’en livrer. Mais elle doit avoir l’aval de Berlin qui rechigne à voir son fleuron technologique fouler le champ de bataille et affronter les russes. L’Europe doit poser une décision collégiale et prendre une seule et même direction. Et pendant ce temps, l’Ukraine attend…